lundi 31 octobre 2011


Non, non, nous ne nous sommes pas perdus dans l’immensité de l’Inde. Nous nous sommes juste retrouvés dans un endroit assez reculé de l’Inde pour ne pas avoir de connexion wifi, voilà la raison de notre silence sur les ondes.

Nous avons quitté avec regret la fraicheur et la tranquilité de Kumily, ainsi que la chaleureuse famille qui nous a accueillit dans sa maison. Nous avons rencontré des personnes adorables comme Mujib, le conducteur de l’auto rickshaw qui nous a transporté ou plutôt accompagné toujours avec le sourire, tout au long de notre séjour à Kumily. Pour le remercier Cyanne et Lois l’ont dessiné avec son rickshaw.

Nous rejoignons la Coté du Kérala. Nous roulons tout d’abord au milieu des plantations de thé. Des collines à perte de vue plantées de thé. Dorénavant, le matin, en prenant notre petit déjeuner nous aurons une pensée  pour cet endroit et les personnes qui y travaillent.
Après les plantations de thé, c’est le tour des forêts de caoutchouc. Tous les matins, vers 6 heures, des hommes viennent réentailler l’arbre pour faire couler la sève de l’arbre. Le soir, il récupére les pots et transforme la sève en plaque de caoutchouc que l’on voit sècher devant les maisons.

vendredi 21 octobre 2011

la ferme aux éléphants


Marie et Claire ont trouvé chacune une partie des photos devinette
C'est le dessous d'une patte d'éléphant
C'est la peau dépigmentée située à l'arrière de l'oreille de l'éléphant.

Le résultat de la devinette, qu'avons nous fait? Nous sommes allés dans une ferme d'éléphant.
Nous sommes montés tous les quatre sur le dos d'un éléphant pour faire une promenade à travers une plantation d'épices. Il était impressionnant de voir  à quel point cette grosse bête obéissait à son cornac. Quelques mots lancés et l'éléphant s'exécutait.

 Ensuite, nous lui avons donné à manger, assisté à une démonstration de portage de bois. Là ce n'est pas avec la voix que le cornac se fait obéir, mais avec les pouces de ses pieds qu'il place derrière les oreilles de l'animal. Ensuite, on a lavé l'animal

 et l'élhant a offert à Lois et à Jeff, juchés sur son cou, une bonne douche rafraichissante.
On n e serait pas venu dans cette ferme sans Lois et Cyanne, mais on a passé un bon moment auprès de ces animaux, même si tout était fait pour satisfaire le touriste, et était un peu artificiel.










Lessive

Une des corvées du voyage, c'est la lessive. On n'a pas pris une tonne de vêtements, donc, il faut les laver régulièrement et en Inde, il n'y a pas de lavomatic à chaque coin de rue! Donc, c'est savon de marseille et brosse. ON retrouve les gestes de nos grand mère ou arrière grand mère.  Mais aujourd'hui, nous avons décidé d'être fainéant et avons confié notre linge au soin d'une blanchisseuse.


Quel régal de retrouver le lendemain matin, sans avoir sué sang et eau, son linge propre, repassé et sentant bon... le feu de bois. ON s'est demandé s'il l'avait fait sêcher au-dessus d'un feu.
En fait, les blanchisseurs confient le linge à des "repasseurs". Ces derniers font brûler des noix de coco, dont ils mettent les braises dans leur fer à repasser pour chauffer celui-ci, d'où l'odeur délicatement parfumée du feu de bois.


la réserve de periyar

Aujourd'hui, nous avons vécu une journée touristique typiquement indienne. Lever à 5h30 pour faire la queue à un premier guichet pour pouvoir entrer dans la réserve. Dix minutes de rickshaw pour faire une nouvelle queue de deux heures pour obtenir un ticket d'embarquement sur un bateau qui fait un tour d'une heure sur le lac. queue assez particulière car on est enfermé dans un couloir en grille métallique, pour éviter que les gens se faufilent dans la queue.Résultat, on avait l'impression de jouer un remake de "la planète des singes" Nous dans le rôle des animaux d'un zoo derrière les cages et les familles singes venant montrer à leurs enfants les drôles d'animaux sans poil.

qui arrive à trouver Jeff dans la queue?

 Le règlement est que toutes les personnes, enfants y compris fassent la queue, car il n'est délivré qu'un seul ticket par personne. Là, on n'a pas joué au touriste indien jusqu'au bout, seul jeff a fait la queue, nous l'avons rejoint au dernier moment. Pendant ce temps, on est allé faire un tour à l'entrée du parc, on photographiait les singes et on était photographié par les indiens (enfin surtout les enfants parce que moi, il ne semble pas que je sois leur modèle préféré).
Ensuite, cohue pour monter dans le bateau alors que les places étaient numérotées. Obligation pour tout le monde de mettre un gilet de sauvetage. Il semble que peu d'Indiens savent nager. Et enfin, un petit tour sur le lac à la recherche des animaux de la jungle.


Enfin on espérait parce que les gardes nous avaient bien recommandé de garder le silence et c'était pire que dans  un car de collégiens excités une sortie extra scolaire. Les indiens criaient, s'interpellaient, riaient, se mettaient debout, malgré les demandes des gardes. Ce fut pire lorsqu'on aperçu notre premier animal. Et puis petit à petit, ça s'est calmé. ON a pu observer une famille d'éléphants sauvages, des sortes de cerfs, des martins pêcheurs, des sangliers. Il parait qu'on a eu de la chance de voir une famille d'éléphants, par contre, on n'a pas vu les 46 tigres qui demeurent dans la réserve. Ils sont pas fous, ils se tiennent bien à l'écart des routes fréquentées par les humains. . Jeff et moi étions un peu déçus d'avoir passé tant de temps pour voir si peu d'animaux, mais les enfants étaient ravis et puis on a vécu une expérience touristique à l'indienne . La plupart des touristes blancs prennent un guide et vont faire une randonnée en jungle de trois heures, mais, cela est interditt aux enfants.



















mercredi 19 octobre 2011

Kathakali

NOn, ce n'est pas la même chose que le kalaripayat. Cette fois ci c'est du théatre, mais un théatre spécifique au Kérala. Déja le spectacle commence avant le spectacle pendant la très longue  préparation des acteurs qui se fait sur scène et qui obéit à des règles strictes. Maquillage, costumes très ornementés pesant jusqu'à 25 kilos, coiffures fantastiques et méditation transforment les comédiens en dieux ou déesses qu'ils doivent interpréter. Attention, seuls les hommes ont le droit d'être sur scène et évidemment les déesses sont jouées par des hommes. Les acteurs ne parlent pas, ils content l'histoire à l'aide de gestes précis surtout des mains, d'expressions faciales et de mouvements d'yeux. Traditionnellement les représentations avaient lieu dans les temples et duraient toute la nuit. On s'est contenté d'une petite représentation d'une heure.
préparation de l'acteur
  • On pensait qu'il n'y aurait que des touristes blancs et bien non, comme pour le kalaripayat il y avait beaucoup de touristes mais indiens.
encore une petite méditation et il sera pret à jouer un dieu
Ils nous ont conté l'histoire d'une déesse qui voulait séduire un dieu, le dieu était plutôt réticent puis quand il s'est montré intéressé par les charmes de la déesse, c'est elle qui ne voulait plus. Comme quoi les dieux ont des préoccupations très humaines. Mais à la fin, le dieu ulcéré qu'on se refuse à lui, tue la déesse  à coups de sabre. Cyanne n' a pas trop apprécié cette partie du spectacle car on était au premier rang et la déesse s'est précipitée vers le devant de la scène, juste à son niveau pour hurler toute sa souffrance. Par contre les longs ongles en acier  du dieu lui ont beaucoup plu. Le lendemain, elle a pris tous les bouchons des feutres pour les enfiler sur ses doigts et avoir les mêmes ongles.

dimanche 16 octobre 2011

Jardin d'épices

Nous sommes allés visiter un jardin d'épices et nous avons été accueillis par un homme formidable "Abraham" qui nous a tout expliqué sur les différentes épices, leur utilisation en pharmacie, en alimentation, en cosmétique. On sait maintenant de quelle plante vient le café, le poivre, la cardamone, le gingembre, le clou de girofle, la muscade etc... SOn "jardin" d'épices qui s'étend sur plusieurs hectares ressemble à une foret tropicale.


 C'est très agréable de s'y promener,d' admirer ses plantations. Abraham a su se mettre au niveau des enfants, trouver des choses qui les intéressentcomme une araignée géante, des libellules rouges, le nid d'un colibri... parce que les plantes, c'est bien un moment, mais ce n'est pas très passionnant pour eux. En plus, il parlait français. Quand on lui a demandé comment il avait appris notre langue, il nous a répondu " avec les touristes" sans l'aide de livres.

KALARIPAYAT

ON est allé assister à une présentation de Kalaripayat. C'est une très ancienne tradition de discipline et d'entrainement martial. Selon les indiens, c'est la base de tous les arts martiaux, tel que le kung fu, le karaté etc...
C'était assez impressionnant de les voir se combattre dans une arène qui est à la fois un gymnase, une école et un temple. En effet en Inde, la religion n'est jamais très éloignée des activités de l'homme. Les combattants avant et après chaque combat se prosternent devant un dieu et au début et à la fin de la présentation se mettent en position de méditation et enchainent des Om.



A la fin du combat, ils nous invités à les rejoindre dans l'arène pour essayer leurs armes. Le bouclier est selon Lois extrèmement lourd.
Encore 16 ans à raison d'une à deux heures d'entrainement par jour et il sera au même niveau que les combattants

suite Kumily

OUps on a oublié de mettre la photo devinette. Pour vous aider encore plus, on en met deux.



samedi 15 octobre 2011

Kumily

Nous avons quitté la côte et les plaines suchargées de chaleur, les villes trépidantes pour nous réfugier dans les ghats occidentaux. C'est une chaine de montagne qui sépare l'Inde du Sud dans sa hauteur.
Nous avons trouvé notre coin de paradis en Inde. Des températures très agréables, beaucoup moins de pollution, une végétation luxuriante, un foisonnement d'oiseaux de toutes sortes...
Nous nous sommes installés dans une home stay (chambre d'hotes) le green view homestay tenue par un couple adorable qui a une organisation très bien huilée pour proposer différentes activités autour de Kumily à des prix défiant toute concurrence. Une adresse à retenir pour ceux qui seraient tentés de venir en Inde du Sud.

elle est pas belle la vie!!


Depuis le début de notre voyage, nous prenons en photo les vues que l'on a depuis notre chambre d'hotel, histoire d'avoir quelques images de l'Inde qui soient relativement objectives et pas biaisées par notre conception occidentale de l'Inde. ET bien ici, on ne voit que du vert, des perruches, oiseaux mouches et autres oiseaux dont on ne connait pas le nom, venir butiner les fleurs, des ballets de singes dans les arbres et au crépuscule une autoroute de grosses chauve souris au dessus de nos têtes.  Ce sont des centaines et des centaines de chauve souris qui quittent leur logis dans une foret de bambous pour se rendre dans des plantations de bananiers ou dans des vignes pour se repaitre, et il y a quatre blancs, tout émerveillés, la tête en l'air qui les regardent passer.

Pour la première fois depuis notre arrivée en Inde, nous ne nous sommes pas endormis au son des kaxons et des clameurs de la ville mais avec le chant des oiseaux et celui des grillons.
Le PARADIS on vous dit! On se demande même si notre voyage ne va pas s'arrêter là!

Et maintenant une petite devinette. Apartir de la photo ci-dessous, essayez de deviner ce que nous allons bientot faire. On attend vos réponses.

mADURAI

Il vient de pleuvoir, la température n'est plus étouffante, mais elle est loin d'être fraiche.
Un temple avec cinq gopurams domine la ville. Il nous semble du même style que celui de Trichy mais nous sommes des profanes en archéologie indienne.

Nous sommes allés visiter un musée dédié à Gandhi: Non violence, égalité entre tous les indiens  sans distinction de castes, égalité entre les hommes et les femmes. Une exposition qui nous a donnée envie de nous replonger dans la vie de ce grand homme.

Nous sommes allés ensuite dans un parc pour enfants  avec des structures métalliques sur lesquelles grimper, des toboggans, des balançoires. Un groupe de femmes faisaient leurs premiers essais sur une balançoire. Il était plus que probable que leur enfance n'avait pas été très ludique. C'était très émouvant de voir leurs visages à la fois joyeux et apeurés, d'entendre leurs rires.
 
Il y avait également une fête foraine dans ce parc, mais vu l'état de certaines structures métalliques, on ne s'est pas riqué sur la grande roue. Lois et Cyanne ont quand même testé un petit train.


rencontre à Madurai

Habituellement nous prenons le rickshaw pour nos déplacements, mais à Madurai, un monsieur nous a proposé de nous transporter dans son rickshaw non motorisé. IL y a dix ans, il y en avait plus, aujourd'hui, ils ont presque disparu au profit des rickshaw motorisés. Normal, vu la pénibilité du travail!!! Après la traditionnelle question que tous les indiens nous posent "Where do you come?" (D'où venez vous? ) Il s'est écrié: "Ah la France, Parisss, la tour Eiffel" et a fourragé sous son siège pour sortir un paquet énorme de cartes postales provenant des quatre coins du monde. IL a fait jouer les enfants puis nous sommes montés à l'arrière pendant que lui pédalait à l'avant. Et là , on a essayé de se faire le plus léger possible en regrettant les goulab jamun, les kulfi et autres pakoras que l'on avait mangé et qui nous alourdissait encore plus. Mais on n'a pas regretté le trajet qui s'est transformé en agréable promenade dans des quartiers peu fréquentés par la circulation.
On s'est quitté en lui promettant de lui envoyer la photo ci-dessous.

Madurai

temple à Trichy

Nous sommes allés visiter un temple à Trichy. C'est le plus grand temple d'Inde, et en effet c'est assez impressionnant. Nous avons passé 7 gopurams (portail d'entrée) sculptés de divers dieux, déesses et démons et richement colorés
deux gopurams
. Nous avons oté nos chaussures pour découvrir les différents sanctuaires à l'intérieur, mais on n'a pas pu entrer dans le saint des saints, le temple d'or car nous ne sommes pas indous.
Lois cette fois, s'est fait bénir par l'éléphant du temple.
Dans un temple, on prie évidemment, mais on y mange aussi, en utilisant des feuilles de bananiers en guise d'assiette
















 on y dort
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 et on fait des rencontres.
On suppose que c'est pour une raison religieuse que les enfants ont le crâne rasé.

jeudi 13 octobre 2011

commentaires

ca y est vous allez pouvoir nous laisser des commentaires sur le blog. Il faut cliquer sur commentaire en dessous du message, écrire le commentaire, cliquer sur choisir le profil, cliquer sur anonyme et ensuite sur publier le commentaire. On attend de vos nouvelles.

dimanche 9 octobre 2011

Cinq heures dans un bus indien

Pour rejoindre Trichy, nous avons pris un bus indien. Sue le bus, il était écrit "De luxe". On n'a pas trop compris pourquoi. Cf photo.
Une gare routière indienne est déjà une expérience en soi. Des centaines et des centaines de personnes, des embouteillages de cars qui se croisent dans un désordre accompagné de coups de klaxon.

Le trajet s'est bien passé. On a même pris une vraie autoroute avec quatre voies et un terre plein central agrémenté de lauriers.
Bon , il y a bien eu un rickshaw (tricycle faisant office de taxi dans les villes) qui roulait à contre sens, une file de camions arrêtés sur la première voie car leurs chauffeurs étaient allés piquer une tête dans la rivière, quelques vaches "sacrées" qui traversaient la chaussée, histoire de nous rappeler que l'on était en Inde.



Quelques kilomètres avant d'arriver à Trichy on est passé devant de nombreuses et immenses universités de technologie, certaines encore en construction. L'Inde ce n'est pas seulement les vaches sacrées, les temples, les saris multicolores, c'est aussi beaucoup d'ingénieurs dans des technologies de pointe.

NOTRE PREMIER VRAI ELEPHANT!

Nous sommes allés voir un temple indien devant lequel un éléphant qui serait la réincarnation d'un dieu bénit les fidèles qui lui donnent soit des fruits soit des roupies (monnaie indienne) Il y a une réelle dévotion pour cet animal de la part des Indiens. Cyanne et Lois ont été enthousiasmé de rencontrer cet animal, maquillé et portant des bracelets de chevilles. Nous, nous nous sommes plutot apitoyés sur le sort de cet éléphant obligé de rester immobile de longues heures et devant caresser la tête des personnes que lui désignait son cornac.



















Avant de partir de Pondicherry nous sommes allés diner chez des amis des parents de Jeff; Jean et Jeannine, respectivement 82 et 80 ans. Ils habitent dans un petit village de pêcheurs près de Pondi. Ils vivent en Inde depuis plus de quarante ans et ils sont époustouflants de jeunesse. Ils nous ont raconté leur vie en Inde, le travail de Jean qui est passionné d'archéologie indienne et qui publie chaque année des livres sur ce sujet, leur premier voyage en Inde. Ils sont partis à l'âge de 20 ans à pied, avec 200 francs en poche et de rencontres en rencontres, ils ont rejoint l'Inde. Jeanine a retracé leur aventure dans un livre pour enfants que l'on vous recommande: Jeanine Brejean, "Un voyage de France en Inde-1952 à 1956". 

scène de rue à Pondicherry


Pondicherry est une ville un peu plus reposante que Chennai. Juste un peu plus. Il y a beaucoup d'activités, de bruit sur certaines rues, mais on peut réussir à trouver d'autres rues plus calmes, sur lesquelles on peut marcher sans être klaxonné toutes les demi-secondes.
femme lavant son linge dans la rue. On lui a promis de lui envoyer la photo papier.

femme nettoyant les rues

vendeuse de noix de coco, elle en coupe une extremité, et on boit le lait de coco à la paille.

Pondicherry est une ville littoral. La promenade en front de mer est très prisée par les habitants. On y vient en famille ou en amoureux, on mange une glace ou une sorte de barbe à papa rose fluo, on parle, on rit, bref comme sur toutes les promenades en bord de mer, sauf qu'ici, il y a beaucoup, beaucoup de monde.

Les enfants chevalier; supers stars indiennes

Hello, ici il est 21 h20, en France, seulement 17h50; Il y a trois heures trente de décalage horaire.
Nous avons un numéro de téléphone indien. Si jamais quelqu'un ne pouvait se passer d'entendre nos voix pendant quatre mois... C'est le + 91 967 721 91 39.
En Inde, une famille avec deux enfants blonds aux yeux bleus ne laisse pas indifférent. Au contraire. On, ou plutôt les enfants (et plus particulièrement Cyanne) sont interpellés, reçoivent une caresse ou se font photographier sous toutes les coutures. Lois accepte volontiers de jouer le jeu, mais Cyanne n'est pas encore prête à être une super star, elle se réfugie dans nos bras et se cache.

mercredi 5 octobre 2011

Mammalapurai

Arrivée en Inde à Chenai, ville surpeuplée, surpolluée, surdimensionnée. On l'a traversée de nuit en taxi. Circulation intense. Sur deux voies de circulation, il peut y avoir jusqu'à quatre files de véhicules. Autre particularité de la circulation en Inde: L'élément le plus important pour conduire, à part le volant est le kaxon. C'est une véritable cacophonie.
Bref, nous avons fui Chenai dès le lendemain pour aller à Mammalapurai, petite ville avec deux quartiers très touristiques (la preuve, les rues sont bétonnées et il n'y a pas une seule ordure par terre).
On est allé à la plage: des groupes de jeunes filles en sari qui vont se baigner( on ne se baigne pas en maillot de bain en tout cas pour les femmes) des couples d'amoureux, des familles , des manèges, l'endroit est animé.

Nous avons assisté à la préparation d'une fête de la régénération: on jette tout ce qui est vieux et on remplace par des choses nouvelles, (enfin c'est ce que l'on a compris). Pour cela , des femmes on fait des dessins sur le sol avec du sable coloré.


Aujourd'hui départ pour Pondicherry